Plusieurs États ont abandonné leur programme nucléaire militaire, mais le sort de Mouammar Kadhafi, de Saddam Hussein et les récents déboires de l’accord iranien de 2015 pourraient inciter Kim Jong-un à se méfier, même si le dirigeant nord-coréen, qui doit rencontrer Donald Trump dans moins de 24 heures, dispose d’atouts particuliers. Alexis Feertchak interroge Cyrille Bret, Guillaume Lagane et Antoine Bondaz.
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