A l’été 2018, le Premier ministre israélien avait convié les dirigeants du Groupe de Visegrad à Jérusalem pour tenir sommet. Le gain médiatique aurait été double et symétrique : d’une part, Benyamin Natanyahou aurait démontré son rayonnement diplomatique à quelques semaines des élections législatives en Israël et, d’autre part, les dirigeants de la Hongrie, de la Pologne, de la Tchéquie et de la Slovaquie auraient manifesté leur capacité à poursuivre une politique étrangère autonome, distincte de celle du couple franco-allemande et de l’Union européenne. Toutefois, le sommet a été annulé cette semaine à la dernière minute. Quelle est la portée de l’événement pour les échéances électorales à venir?
Le Temps, média de référence suisse, interroge Cyrille BRET sur la question : Bret Visegrad Israël