La candidate pro-UE Maia Sandu, vue comme un rempart à la corruption, a remporté la présidentielle face au sortant russophile. La dirigeante de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est réjouie de ce résultat.
Sur un score sans appel de 57,72%, elle a su emporter un scrutin que beaucoup estimaient devoir être plus contesté.
« Elle a suscité de la sympathie chez ces votants, elle qui a aussi quitté son pays et pris le risque d’y revenir, alors qu’elle avait une carrière internationale confortable« .
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