ENTRETIEN – Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF, décrypte la situation alors que Chisinau évoque des projets russes de déstabilisation.
Entretien réalisé par Amaury Coutansais-Pervinquière.

LE FIGARO.- Maia Sandu, la présidente moldave, a détaillé les projets russes de déstabilisation de son pays : «le plan prévoit des attaques d’édifices étatiques et des prises d’otages par des saboteurs au passé militaire camouflés en civil ». Pourquoi Moscou chercherait-il à déstabiliser à cette ex-république soviétique de 2,6 millions d’habitants ?
Florent PARMENTIER.- Dès l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la Moldavie s’est placée à ses côtés, tout en gardant une grande prudence dans ses actes. Mais en plus de la reconnaissance, en juin dernier, de son statut de candidat à l’Union européenne, la présidente Maia Sandu et la première ministre Natalia Gavrilita ont également fait plusieurs pas vers l’Otan. Pas forcément pour une adhésion, mais bien un pas. (…)
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