Si Emmanuel Macron a changé de discours depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, il considère toujours qu’il va falloir négocier avec la Russie.
(…) Après les succès militaires de Kiev à l’automne, « on a depuis décembre un changement d’ambiance », constate Florent Parmentier, maître de conférences à Sciences-Po. Les deux camps perdent beaucoup d’hommes, avec un ratio beaucoup plus défavorable à l’Ukraine, trois fois moins peuplée. Le manque de munitions guette aussi le pays. « Vladimir Poutine se dit très clairement que le temps joue en sa faveur », note Florent Parmentier.
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