La Première ministre britannique a fortement suspecté, lundi 12 mars, la Russie d’être « responsable » de l’empoisonnement de l’ex-agent double russe Sergueï Skripal et de sa fille Ioulia à Salisbury. Soulignant que l’agent innervant utilisé était une substance « de qualité militaire » développée par la Russie. Theresa May a donné jusqu’à ce mardi soir à Moscou pour fournir des explications à l’Organisation pour la prohibition des armes chimiques. Le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson a fait savoir que Washington partageait l’avis de Londres dans ce dossier.
Le décryptage de Florent Parmentier, co-fondateur du site Eurasia Prospective et Enseignant à Sciences Po Paris.
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