Les enjeux internationaux de la commémoration du génocide arménien (PARMENTIER pour Le Parisien)

Le 24 avril 1915, en pleine Première Guerre mondiale, voit l’assassinat de 600 notables arméniens à Constantinople, capitale de l’Empire ottoman, sur ordre du pouvoir ; ce seront les premiers d’un génocide qui comptera 1,2 à 1,5 millions de victimes. Ces massacres de masse provoqueront également un large exode, y compris vers la France, où existe encore aujourd’hui une importante diaspora.

 

 

Nicolas Berrod a interrogé Florent Parmentier au sujet du choix de commémorer le génocide arménien le 24 avril, de sa signification et de ses conséquences pour les relations franco-turques.

L’intégralité de l’article du Parisien est accessible ici.