S’inspirer du biomimétisme pour repenser l’organisation de nos sociétés (PARMENTIER pour The Conversation)

Le Covid-19 met au défi la communauté scientifique. Non seulement la médecine, la chimie ou la biologie, mais également les sciences humaines, de l’histoire à la science politique en passant par la géopolitique et l’économie. L’étude des événements et des ruptures, du rythme et des modalités de sortie du confinement, du consentement des populations au déploiement des projets de puissance… les interrogations sont aujourd’hui multiples.

De nombreux choix éthiques s’imposent à nous, entre santé et redémarrage économique, retour au modèle productiviste et transition écologique, groupes sociaux et territoires à sauver ou à négliger.

Et si la meilleure manière d’opérer ces choix collectifs dans un contexte incertain et complexe était de réunir sciences dites « dures » et sciences humaines, afin de construire une architecture du système international inspirée de la nature ? C’est cela que l’on appelle le « biomimétisme ».

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