Les quatre capitales du « groupe de Visegrad » s’allient contre leurs gouvernements (PARMENTIER – France Culture)

Ils sont maires de Varsovie, Budapest, Prague et Bratislava. lls se disent à la tête de villes «libres», contre l’ultra-conservateur Viktor Orban qui gouverne la Hongrie à nouveau depuis 2010, contre le Parti droit et justice à la tête de la Pologne depuis 2015, ou encore contre des dirigeants tchèques et slovaques accusés de corruption ou de détournement de fonds européens. Cette union a été permise après que Budapest trois jours plus tôt, a élu un opposant de centre-gauche. La résistance venue des villes peut-elle vraiment mettre à mal ces gouvernements qui continuent à remporter par ailleurs de grands succès électoraux ?

L’émission est à écouter ici.

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Florent Parmentier : enseignant à Sciences Po, chercheur associé au Centre de géopolitique de HEC, co-fondateur du blog EurAsia Prospective. Auteur de « Les chemins de l’Etat de droit » (ed. Presses de Sciences Po) et de « La Moldavie à la croisée des mondes » (ed. Non lieu).